C’est la deuxième fois depuis 2019, que la fondation PROSMI fait des gestes aux femmes victimes du scenario N’na Fanta. Une femme qui se faisait passer pour une guérisseuse traditionnelle qui, a le pouvoir d’aider les femmes à enfanter. Une fausse promesse qui n’a jamais vu le jour. Cela a provoqué des maladies chez certaines d’entre elle.
Ainsi pour joindre l’utile à l’agréable, la fondation PROSMI et Merck Fondation, se sont données les mains pour assister financièrement ces femmes.
Donc comme la première édition, 20 femmes ont bénéficié d’un montant de 4.801.000 gnf chacune au titre de cette année.
La remise officielle a eu lieu ce mardi, 13 juillet en présence responsables des deux fondations et d’autres invités.
Le directeur exécutif de la fondation PROSMI, M. Kerfala Kaba a, au nom de sa présidente, Hadja Djènè Kaba Condé revenu sur les efforts consentis par la fondation PROSMI et Merck. Des efforts relatifs non seulement à la formation de ces femmes victimes de cette pauvre Dame. Avant de noter : « Nous sommes en collaboration avec la Foundation Merck qui lutte contre les méfaits de l’infertilité. Nous avons pris ensemble l’initiative d’accompagner des femmes victimes d’infertilité dans un premier temps à s’autonomiser et également à enfanter. C’est pourquoi, au-delà de cette distribution de chèques qui consiste à les aider dans leur domaine respectifs. Nous formons aussi des médecins pour permettre de trouver une solution pour ces femmes. Puisqu’il va falloir que les médecins que nous formons réussissent dans le domaine. La fécondation humaine en vue de permettre aux femmes infertiles de concevoir>>
Au nom des bénéficiaires de la première édition, Mme. Diaby M’ Balia Sylla, s’est réjoui de cette initiative des donateurs. « Nous aimerons que ces genres d’initiatives multiplient pour bonheur des femmes qui se trouvent dans de tel situation »
Sekouba Beckhamp