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L’espoir semble s’estomper par rapport au coût des denrées de premières nécessité dans nos marches.

Le maitre-mot, tout est cher. Le panier de la ménagère en dit long. Quelle en sont les causes? Les avis divergent. Pendant ce temps, l’on se demande comment bourre le ventre? Pour dames Sylla et Sow, 50000fg ne peuvent pas assurer la dépense journalière: « nous exhortons les nouvelles autorités de de revoir les prix pour nous dans les marchés. Parce que, la population souffre particulièrement la femme guinéenne  » Il est à noter que le gouvernement avaient promis de revoir les prix des marchandises d’ici la fin d’année 2021, mais rien n’est fait à cet effet et le taux d’échange a baissé mais rien n’est ressentie sur le panier de la ménagère. Et même le carburant aussi a été revue à la baisse cela fait déjà des mois mais tout est cher. Sans compter aussi les tracas de se déplacer; les frais de loyer et de scolarité tout à flambé. Pour M. Soumah, « la prise du pouvoir par le CNRD le 5 septembre 2021, a réveillé en moi un grand espoir mais vu comment les choses se déroule dans ce pays difficilement j’arrive à prendre soin de ma famille », exprime-t-il. Il est à signaler quant on prend de nos jours un sac de riz importé coûte 320.000GNF; le riz du pays à 425000; le sucre a 415.000GNF le sac; un sac de gombo est à 400000; le sac oignon 180000GNF; un bidon d’huile 425000… A cet effet, la population se pose la question sur la gestion du pays avec le CNRD parce que tout à flambé dans nos différents marchés. Alors, toute une urgence pour les prix dans nos marchés.

Rougui Bah