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Maison centrale de Conakry: saisie de plus de 9kg de chanvre indien, des couteaux et des téléphones portables.

 

Informer la nuit dernière d’évasion de 11 détenus à la prison civile de Forécariah, le Procureur Général Près la Cour d’Appel de Conakry, Alphonse Charles Wright, toujours  engagé dans  l’application de la loi pénale   dans son ressort  s’est rendu ce jeudi, 26 mai à la maison centrale de Conakry, pour procéder à la fouille systématique de toutes les cellules et les détenus pour éviter les cas similaires dans cette maison d’arrêt.

Du coup plus 9 kg de chèvre indien  ont été saisie. Les couteaux et 47 téléphones ont été aussi saisis.

Au sortir de ce travail de fourmis abattu par le Procureur et son équipe naturellement appuyer par la gendarmerie, à souligné que nous vers la période des grandes pluies, une aubaine dit-il pour des détenus de mettre en braille leur génie inventif pour pouvoir tenter de se soustraire à la loi pour pouvoir palier à cette situation. Nous avons mis en place de façon spontanée, de manière inopinée cette mission d’inspection au niveau de la maison centrale de Conakry. Un résultat qu’il qualifie déjà probant. Avant d’ajouter :  » le régisseur qui vient de prendre fonction dans cette maison d’arrêt, ne fournit pas mal d’efforts pour qu’il y ait le minimum de sécurité pour le suivis et le contrôle des détenus. Mais de l’autre c’est le lieu de dire : « De venir en appuie par rapport à cette maison. Vous avez vu les statistiques, elles crèvent les yeux. Il y a plus de mille. Nous sommes un pays qui doit s’inscrire dans le respect du des détenus. C’est en cela on pourra prendre la température de la Guinée en matière de respect des Droits Humains »

Concernant les détenus tombés dans un état de manse, le procureur général, Charles Wright, visiblement très sensible dira: «  c’est détenus sont en train d’être gardé alors qu’ils n’ont plus leur place ici. J’ai donné l’instruction à Monsieur le régisseur de recenser tous ces détenus. Il faut qu’ils soient placer dans un milieu approprié leurs prises en charge sanitaire. Ce processus sera continuel jusqu’au bout. »

Kalifatou Doumbouya

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