Ce mercredi, la justice a rendu son verdict : Aliou Bah, leader du Mouvement démocratique libéral (MODEL), a vu son appel rejeté. Le juge a confirmé la condamnation prononcée par le tribunal de première instance de Dixinn, lui infligeant deux ans de prison ferme pour « offense et diffamation » à l’encontre du président de la transition, le général Mamadi Doumbouya.
Cette décision réduit la peine de cinq ans initialement requise par le procureur général de la République lors des plaidoiries.
Les avocats du responsable politique ont exprimé leur déception face à ce jugement et envisagent désormais d’autres recours, notamment auprès de la Cour suprême.