Examen d’entrée en 7ᵉ année, session 2025 : les épreuves sont lancées ce jeudi sur l’ensemble du territoire national.

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À Coyah, c’est le collège Plateau qui a servi de cadre pour le lancement officiel de cet examen. La cérémonie a été présidée par le préfet de Coyah, le colonel Yaya Kalissa, en présence des autorités préfectorales de l’éducation de Coyah. Le superviseur national de l’examen était également présent.

Après le lancement, ces autorités ont visité quelques centres d’examen à Coyah. Elles ont invité les surveillants et les candidats à travailler dans la sérénité et à éviter la fraude. Selon elles, ces enfants représentent l’avenir du pays

Le directeur préfectoral de Coyah, M. Lancinet Kaba, a fait savoir que cette année, 22 692 candidats ont été présentés, dont environ 11 800 filles. << Nous évaluons les élèves sur les matières qu’ils ont apprises durant toute l’année. Nous avons sillonné les centres et aucune fausse note n’a été enregistrée. Nous souhaitons que les examens du brevet et du baccalauréat se déroulent dans les mêmes conditions. Grâce aux efforts du gouvernement, de nombreuses écoles sont désormais clôturées à Coyah. Cela nous permettra d’assurer une meilleure surveillance dans les centres avec moins de difficultés. >>

Le superviseur national de l’examen à Coyah, Moussa Sacko, a apprécié les dispositions mises en place par les autorités de Coyah pour la réussite de cet examen dans leur préfecture. Il a aussi rappelé que les surveillants avaient été sensibilisés à cet examen.<< Après l’atelier national, il y a eu une démultiplication des recommandations auprès des surveillants pour qu’ils restent sereins et travaillent dans de bonnes conditions. Car nous prônons toujours la restructuration et la refondation de l’État. C’est dans cette dynamique que les choses changent. >> a-t-il déclaré.

 

 

Le préfet de Coyah, le colonel Yaya Kalissa, a assuré que toutes les dispositions étaient mises en place pour le bon déroulement de cet examen au niveau de sa préfecture. Il a réaffirmé que ces enfants représentaient l’avenir du pays.

Abdoulaye Keita